LA
SANTE
La santé est un état vibratoire harmonieux.
C’est l’éloignement de cette harmonie qui est vécue comme mal-être, douleur, maladie.
L’être humain est tripolaire : Un corps - un esprit - une âme.
Le désaccord entre les plans entraîne un conflit interne, qui s’il perdure, ouvre une porte à la maladie.
La santé est harmonie
La maladie est dysharmonie
Le déséquilibre provient de la désorganisation de la fonction mentale
(attitudes, pensées, schémas négatifs) et la perturbation du plan émotionnel.
S’harmoniser, c’est changer le négatif de certaines émotions, qui nous «tuent »,
pour développer des qualités qui nous épanouissent.
Les défauts sont des qualités trop développées
Il n’y a pas de vraie guérison sans changement d’attitude
UNE VRAIE GUERISON
Une guérison du corps physique apparente, sans guérison de la cause est dangereuse. Ici, tout moyen calmant,
homéopathique, chimique… va permettre la disparition du symptôme. Cela revient à éteindre l’alarme par laquelle le corps a voulu attirer notre attention,sur un conflit non réglé. La maladie va
alors devoir descendre plus profondément dans le corps, et sans être comprise, elle va se transformer en menace mortelle. Ceci ne veut pas dire qu’il ne faut pas employer de remèdes pour calmer
la douleur ! Calmer la douleur est nécessaire, car alors on peut s’interroger sur le pourquoi de celle-ci .
Le mal est un bien qui n’est pas encore à sa place.
Si les élixirs floraux se rapportent au domaine psycho-émotionnel, il ne faut surtout pas en conclure à une faute, à une responsabilité personnelle en
cas de traumatisme, de douleur, de maladie. Ce sont l’éducation, la méconnaissance, les principes moraux, le vécu familial, les habitudes qui s’étendent sur plusieurs générations, l’ignorance,
l’orgueil, l’avidité, l’indécision, la haine, l’égocentrisme et la cruauté qui nous ont entravés. C’est l’interaction de tout un tas de phénomènes qui font que nous sommes plus en accord avec
notre essence même, et donc mal, pas « bien dans notre peau », « pas au top », « pas en forme », « pas au mieux »…
Notre pensée doit changer dans notre rapport à la maladie.
Nous ne devrions pas nous préoccuper de quoi
faire en cas de maladie,
mais plutôt comment faire pour ne jamais être malade !
La médecine traditionnelle, ne s’intéresse qu’aux symptômes de la dite maladie.
Lorsqu’on s’inquiète de quelqu’un qui a une douleur. Ce n’est pas uniquement l’élancement, le seuil de la douleur de la jambe cassée qui doit
retenir notre attention, mais comment la personne considère son mal. Elle peut être en souci pour les autres, parce qu’elle n’est plus disponible, s’en vouloir, avoir peur de ne pas retrouver sa
mobilité, mais aussi, pourquoi pas, être soulagée, cela lui permet de ne pas faire une chose dont elle n’avait pas envie, tout de même heureuse, car enfin on va s’occuper d’elle, en colère,
car elle ne pourra accomplir ce qu’elle projetait…ce sont ces points qui vont déterminer le choix de l’élixir floral.